…des lois raciales du Troisième Reich. Reconnu coupable de complot et crime contre la paix, il n’est condamné qu’à la prison à vie. Surveillé alternativement par les Américains, les Britanniques, les Français et les Soviétiques, il purge sa peine dans la prison de Spandau à Berlin-Ouest, jusqu’en 1987, date de sa mort, où on le retrouve pendu. (Ainsi le sort a voulu qu’il attende 41 ans pour mourir comme les autres condamnés).
Relève de la garde par les gendarmes français à la prison de Spandau
Se manifeste alors le troisième signe : lors de mon affectation dans les services spéciaux, Rudolf Hess est alors surveillé par les gendarmes français. Il est devenu une ombre silencieuse qui mobilise à elle seule plus de 30 personnes pour le garder !
En 1987, à la mort de Rudolf Hess, la prison est intégralement détruite pour éviter les rassemblements néo-nazis, car le monstre du racisme est inscrit dans les gènes de l’humanité et ne disparaîtra jamais, sauf mutation génétique !