Or, à mon retour des USA et avant de partir à l’École des Officiers de Réserve de Montpellier, je vais saluer Didier Lazard et son épouse, la grande musicienne Ginette Martenot, dans leur petite maison de vacances de Bréhémont en bord de Loire. Didier me commente longuement le procès au soleil couchant, un soir d’octobre 1963, alors que je suis bien loin de penser que quelques mois plus tard, je serai à Berlin près de Rudolf Hess, le parrain spirituel des lois raciales du Troisième Reich (cf. La Folvie - 1963 et l’armée 1964 - 1965).
En conclusion je pourrai citer Einstein. Selon ce génie scientifique, le hasard n’existe pas. Le hasard c’est quand Dieu intervient et que l’on ne s’en rend pas compte. Mais l’athéisme d’Einstein est bien connu.