… de leurs oreilles... Je trouve cela parfaitement répugnant et depuis je me demande si je n’ai pas rêvé cette particularité car je n’ai jamais lu ni entendu depuis de telles bizarreries.
La salle des copistes et le réfectoire
Après avoir contemplé la roue gigantesque de la cage d’écureuil qui, animée par les ouvriers du moyen âge aux pieds nus, tournait sans fin pour monter les pierres depuis la plage, comme un accomplissement, une récompense. Je découvre la nef et le chœur de l’église. C’est alors l’ébahissement brutal de la révélation.
Dans la lumière dorée du crépuscule, les immenses colonnes du chœur montent vers le ciel comme les arbres de la forêt proche. Ce ne sont pas ces sombres droites allant vers l’in- connu de Saint Maurice de Lille, c’est l’élan miraculeux et infini…