Nous traversons Guise et passons devant le monument dédié à Camille Desmoulins (1760-1794) l’avocat révolutionnaire qui a tant remué les foules avant de mourir guillotiné sous la terreur.
Elle ouvre la porte et sidérée me regarde à deux fois puis éclate de son rire sonore. « Mooon Diou mais c’est toi ? Eh bien dis donc tu as bi-enn profité des vacances ! On dirait une grosse boule ! »
Les canaris dormaient, le chat venait se poser sur le journal que protégeait une toile cirée à ramages, le feu crépitait... J’entrais dans un autre monde.